Ca a commencé par un aller-retour à l'aéroport, sortir de la campagne pour une virée dans Osaka ça m'a déjà fait un grand bien. Le bus était encore le moyen le plus simple, et puis les autoroute surélevées permettent d'apercevoir la baie et la ville. Une de ses première réaction : il fait plus chaud qu'à Barcelone !
Elle est arrivée un Mercredi, et j'ai continué d'aller bosser jusqu'à Vendredi. Marion en a profiter pour se reposer et faire une virée à Osaka-city, vers Namba, un quartier sud animé rempli de boutiques et galleries marchandes.
Le premier weekend, les gars de chez starbank devait aller voir un client dans la prefecture de Shizuoka où se trouve ... el Monte Fuji ! si, hombre ! Nous avons donc profiter de l'occasion pour aller découvrir les joies de la grimpette sur volcan. Y'a de quoi écrire un vrai roman, je vais tacher de vous faire ressortir l'essentiel:
Vendredi midi, on m'apprend que y'a moyen d'aller au mont Fuji le lendemain matin. Vendredi soir, on va acheter des lampes torches car on en aura surement besoin, dixit Olivier. Puis fin de soirée devant l'ordi pour préparer le chemin, et la virée à Tokyo dans la foulée.
Samedi matin départ prévu à 6 heures, réveil 5h30 environ donc,un peu dans le coltar. Au final on décolle vers 7h et des brouettes, à cinq dans la Cadillac. S'en suit une virée sur les autoroutes japonaises, en mode need-for-speed : vas-y que je te double à gauche, à droite, là où ça passe, et pour finir une remontée de bouchon sur la bande d'arrêt d'urgence. Le cochon.
On arrive finalement au pied du Mont Fuji, que l'on aperçoit de loin grâce au temps plutôt dégagé. On quitte le reste de l'équipe pour un bus qui nous mène à la cinquième station, point de départ de la majorité des randonneurs. L'après midi est déjà entamée, j'ai appris qu'il n'y avait plus de place dans les hotels en bas de station (on est dans le weekend le plus fréquenté de l'année apparemment), et on se demande un peu comment se la jouer niveau emploi du temps. Pour arriver au sommet au lever du soleil, il fait partir vers 9h du soir. On lève le camp vers 16h30, après avoir avalé un ramen et fait le plein de gateaux et une bouteille d'eau (enfin dans la limite de ce qui pouvait rentrer dans le sac), en se disant que de toute manière autant y aller pendant qu'il faisait jour et que ça servait à rien de se tourner les pouces en bas.
Le Fuji possède plusieurs chemin, nous avons emprunté la voie "Yoshida". Elle comporte 9 stations avant le sommet, à comprendre des huttes qui vendent des cafés à 400 yen, du miam, et qui
... bon c'est l'heure du film, la suite au prochain numéro !
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